De mauvais points pour les pharmaciens

En cas de prescriptions sur nom de substance, le pharmacien peut en concertation avec le patient choisir dans l’offre de médicaments les plus adéquats contenant la même substance. Il est surprenant que seulement dans 12 pour cent des cas, il est opté pour le produit le moins cher. Quatre pour cent ont pris le médicament le plus cher.  L’enquête de Test-Achat se pencha, entre autres, sur un médicament contre l’hypertension chronique. Deux pharmaciens sur trois n’ont pas demandé au patient quel médicament il prenait d’habitude, alors que l’expérience du patient est essentielle vu que de tels médicaments doivent être pris à long terme. Les médecins aussi peuvent mieux faire. Depuis 2005, ils peuvent prescrire des médicaments sur nom de substance, mais à ce jour il semble que pour seulement 2,4 pour cent des médicaments dont il existe un générique, une telle prescription a effectivement lieu. Pourtant, cela peut apporter aussi bien à l’INAMI qu’au patient une économie considérable. L’Association Pharmaceutique Belge reconnaît le problème et dit y œuvrer. Nous sommes curieux… (BVC)

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