Le CPZ a reçu l’an dernier plus de 10 000 appels, chiffre en légère augmentation ; le nombre de SOS lancés par Internet a quant à lui plus que doublé en un an (de 362 à 763). Ils sont surtout lancés par des jeunes, alors que la moyenne d’âge des "naufragés" qui recourent à la ligne téléphonique est de 40 ans. La plupart souffrent de dépression ou d’un isolement social. Quant aux jeunes, ils se disent surtout incompris et un sur trois se plaint de mauvaises relations avec ses parents. La crise économique n’a pas provoqué jusqu’à présent d’augmentation radicale du nombre d’appels, mais la directrice du centre, Grieke Forceville, n’exclut pas que les conséquences de la récession se fassent davantage sentir dans le courant de l’année. (BVC)