Plusieurs causes expliquent le manque criant de donneurs. Dans 15 à 20% des cas, la famille refuse, en cas de décès, le don d’organes. En outre, tous les hôpitaux ne pensent pas au don d’organes après un décès. Et cela peut paraître rude, mais la diminution du nombre de victimes de la route entraîne une diminution du nombre de candidats donneurs.
Les spécialistes en néphrologie s’appliquent à reprendre l’étude de la transplantation de reins d’origine animale sur l’humain. A l’heure actuelle, les organisations de défense des animaux s’y opposent. Cela pourrait toutefois contribuer grandement à une forte réduction des longues listes d’attente.