L'expérience BLP n'est pas encore une réussite

Les PLB peuvent également acheter des soins pour des institutions. Le Vlaams Welzijnsverbond a reçu les données de 16 institutions auxquelles 36 PLB se sont adressées. Dans la plupart des cas, le type de soutien demandé était clair, mais chez certains, cela manquait de clarté. Les PLB ne font, assez étonnamment, pas grand usage du plan de soutien et se font aider, dans les négociations, par leur famille, entre autres.

Chercher et tâtonner

La plupart des sélectionnés n’ont pas consacré leur PLB exclusivement à un prestataire de soins, et l’ont combiné avec, par exemple, des soins à domicile réguliers, un assistant personnel, un autre prestataire VAPH ou des Chèques-Services. Pour les institutions de soins, il faut encore chercher et tâtonner pour cette forme de soutien, et il n’est en général pas évident de fournir des soins à un ou plusieurs PLB.

« Il y a encore beaucoup de travail, » déclare Diane Serneels, du Vlaams Welzijnsverbond. « Malgré des débuts chaotiques et peu convaincants, nous espérons que cette expérience aura toutes ses chances. Avec plusieurs sélectionnés qui ont décroché, le groupe expérimental est assez réduit, mais ne tirons pas de conclusions hâtives, et laissons à ce projet, qui se déroule jusque fin 2010, toutes les chances qu’il mérite. »

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