“Lors du déménagement vers le nouveau campus, nous avons réalisé une analyse de nos processus de nettoyage et sur cette base, nous avons formulé une série de souhaits concernant les nouvelles machines de nettoyage. Nous avons interrogé plusieurs fournisseurs, avant de conclure un accord avec Alpheios. Nous avons notamment choisi ses machines de nettoyage en raison de leur flexibilité et de leur capacité d’adaptation.“
Alpheios a fourni 37 machines de nettoyage faites sur mesure. “Il s’agit de machines très sobres, compactes et faciles à manoeuvrer, fabriquées en inox. Chez nous, les collaborateurs ne travaillent pas avec leur propre machine. Chaque collaborateur a donc une lourde responsabilité. La machine de nettoyage comporte notamment un chiffon intérieur et une étagère pour les produits. Nous n’utilisons plus d’essoreuse à main, mais optons pour la méthode Meha de nettoyage à base de microfibres pour enlever les taches. Chez nous, le mot clé, c’est l’efficacité. Après le nettoyage, toutes les machines de travail sont centralisées dans un local de 50m² où sont aussi stockés les produits de nettoyage. Tous nos produits de nettoyage d’Alpheios/VIVE possèdent un label écologique.”
Un contrôle de qualité informatisé
“Le nettoyage est un aspect important de la vie de l’hôpital. Quelque 85% des activités de nettoyage se déroulent entre 6 heures et 12 heures. La productivité est élevée, avec 150 m² par heure prestée. Nous encadrons les nouveaux collaborateurs via le principe du parrainage. La qualité du nettoyage est suivie en permanence, notamment via un contrôle informatisé et l’atp-métrie. Alpheios est un partenaire que nous apprécions beaucoup. Une équipe de conseillers d’Alpheios encadre nos collaborateurs, notamment pour ce qui concerne les méthodes de travail. Lors de la concertation organisée toutes les six semaines avec l’équipe, Alpheios apporte également sa contribution. En tant que département chargé du nettoyage, nous plaçons la barre haut, mais de cette manière, nous sommes également convaincus d’accomplir notre tâche d’une bonne manière”, conclut Patrick Meyvaert.
Bert Verbeke
