Sur le plan du contenu, de nombreuses questions demeurent encore sans réponse. Et la plus importante est peut-être la suivante : qui assure concrètement le lien entre les soins à domicile et les centres de logement et de soins, et comment ? Qui coordonne ces soins ? Qui se déplace chez quoi et surtout quand, et avec quels moyens ? Y a-t-il suffisamment de personnel disponible, et comment le financement des soins est-il assuré ?
Pour de nombreuses directions, rien n’est clair, le texte étant faisant un amalgame des renvois vers la famille, le représentant ou l’entourage, voire même vers les bénévoles lorsqu’il s’agit de bien-être, de logement ou de représentation du résident. Il semble intéressant de désigner un membre spécifique de la famille comme représentant. L’entourage peut changer, au même titre que les bénévoles, déclarent certaines directions.
Le texte manque parfois de clarté. A titre d’exemple, l’article 7 : « Le résident et sa famille ou son entourage bénéficient de la plus grande liberté possible. » Qu’entend-on par « la plus grande liberté possible » ? Cela concerne-t-il le droit de visite ou les repas, les soins … ?
Un autre exemple, avec l’article 25.5°, qui déclare que le centre de logement et de soins doit démontrer que « le résident ou sa famille / entourage acceptent le plan de soins et d’encadrement. » Cette acceptation est difficile à mettre en œuvre : elle signifie que chaque fois qu’un soin est adapté, le résident ou sa famille / entourage doit donner son accord. C’est impossible dans la pratique.
Encore un exemple, avec la fourniture du rapport du conseil des utilisateurs « à tous les résidents, à la famille ou à l’entourage ». Il a été proposé de plutôt mettre ce rapport à disposition dans un endroit central du centre de logement et de soins.
Les exemples ne manquent pas. Et cela montre que les nouveaux textes, comme par le passé, se prêtent à une interprétation des normes.
(DVDM)
Vers une interprétation des normes pour les nouvelles normes des centres de logement et de soins ?
Sur le plan du contenu, de nombreuses questions demeurent encore sans réponse. Et la plus importante est peut-être la suivante : qui assure concrètement le lien entre les soins à domicile et les centres de logement et de soins, et comment ? Qui coordonne ces soins ? Qui se déplace chez quoi et surtout quand, et avec quels moyens ? Y a-t-il suffisamment de personnel disponible, et comment le financement des soins est-il assuré ?
Pour de nombreuses directions, rien n’est clair, le texte étant faisant un amalgame des renvois vers la famille, le représentant ou l’entourage, voire même vers les bénévoles lorsqu’il s’agit de bien-être, de logement ou de représentation du résident. Il semble intéressant de désigner un membre spécifique de la famille comme représentant. L’entourage peut changer, au même titre que les bénévoles, déclarent certaines directions.
Le texte manque parfois de clarté. A titre d’exemple, l’article 7 : « Le résident et sa famille ou son entourage bénéficient de la plus grande liberté possible. » Qu’entend-on par « la plus grande liberté possible » ? Cela concerne-t-il le droit de visite ou les repas, les soins … ?
Un autre exemple, avec l’article 25.5°, qui déclare que le centre de logement et de soins doit démontrer que « le résident ou sa famille / entourage acceptent le plan de soins et d’encadrement. » Cette acceptation est difficile à mettre en œuvre : elle signifie que chaque fois qu’un soin est adapté, le résident ou sa famille / entourage doit donner son accord. C’est impossible dans la pratique.
Encore un exemple, avec la fourniture du rapport du conseil des utilisateurs « à tous les résidents, à la famille ou à l’entourage ». Il a été proposé de plutôt mettre ce rapport à disposition dans un endroit central du centre de logement et de soins.
Les exemples ne manquent pas. Et cela montre que les nouveaux textes, comme par le passé, se prêtent à une interprétation des normes.
(DVDM)
Lees ook
Securitas: allround consulting en training in Fire & Safety
Care Property Invest verwerft complex assistentiewoningen te Rijmenam
Offline toegangscontrolesysteem Salto scoort in ziekenhuizen
Historische investering van federale overheid in zorgpersoneel
Efficiënt evacueren met LynX®
Andere artikelen
Suïcide-veilig douchepaneel vervangt klassiek bad
Van 3 campussen naar 1 nieuwbouwziekenhuis: de krachttoer van de HR-dienst
Familiehulp: “We zorgen voor onze cliënten en onze medewerkers”
Zorgbedrijf Roeselare: “Onze medewerkers hebben een hart voor de zorgsector”
Reïntegratie op school van kinderen met hersentumor te moeizaam